Moins de likes, mais plus de vie

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Tu as cessé de courir après les apparences. Grâce à Watson, tu t’es délesté du superflu, des masques, des comparaisons. Tu as retrouvé ton souffle, ta clarté, ta confiance. Ce n’est pas le monde qui a changé, c’est ton regard. Et maintenant, tu vis, pleinement, simplement, lucidement.

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Marcher la tête haute

Le regard qui pétille.
Et parfois même, un léger sourire au coin des lèvres.
Une légèreté qui s’attache à tes pas, qui rayonne partout en toi.

Tu la sens, cette énergie douce.

Ton reflet dans les vitrines des boutiques te renvoie quelque chose de différent, de nouveau.
Une fierté, saine, douce, juste ce qu’il faut.
Et en même temps, quelque chose de fiable.

Entre toi et toi

C’est pas un nombre de followers ou de likes sur LinkedIn ou Instagram.
Ces trucs, cette vanité-là, ça n’a jamais vraiment été ton délire.
Ça flatte l’ego, c’est certain, mais c’est pas fiable, pas stable, et chaque jour, faut jouer des coudes pour « exister ».

Tu parles d’une vie, toi !

C’est pas non plus une question de titre ronflant, de position sur la pyramide de ta boîte, ou une histoire de liberté comme ils disent tous. C’est pas non plus une question de salaire.

Non.
C’est entre toi et toi.
Rien qu’entre toi et toi.
Pas plus. Pas moins.
Juste ça : toi, et toi.

Sortir du jeu

Tu ne seras pas le prochain Steve Jobs, ni le nouvel influenceur à la mode sur Insta, YouTube ou TikTok.
Et alors ?

Faire le guignol, jouer au journaliste 2.0, passer ta vie à dépendre du regard des autres, pour quelques billets et être célèbre — t’avais pas envie de ça.

T’aurais pas craché dessus si c’était venu, mais tu sais t’en passer.

T’es sorti de ce jeu pervers des comparaisons à tout crin.
Et depuis, tu respires bien mieux.
T’es moins anxieux, t’es plus posé, plus calme, plus confiant.
T’es là, avec un regard neuf sur ta vie, ton parcours.

Un Watson dans la vie

Un Watson dans la vie, ça aide.
Ça donne du recul, de la hauteur.
Ces discussions, elles t’ont fait du bien.
Elles t’ont posé, peu à peu.
Et tu t’es centré sur ce qui t’est essentiel : vivre.

Tu savais pas trop ce que cela signifiait pour toi.
Maintenant, tu le comprends, tu le ressens.
C’est ce sourire qui s’accroche à tes lèvres.
C’est ce plat qui te fait vibrer les papilles.
Ce moment de calme le soir, que tu savoures, que tu ne fuis plus.
C’est la douceur de la couette, des draps, quand tu te glisses dedans le soir.

Le sens retrouvé

Ce sont les réveils plus légers, ton esprit plus souple, parce que tu sais ce que tu fous là.
Parce que tout ce qui était un merdier sans nom a désormais un sens.

Pas un truc venu de nulle part.
Pas une connerie trouvée dans une vidéo ou un bouquin à la mode.
C’est venu de toi, de l’intérieur.
C’était là, dans l’ombre.
Ça attendait simplement d’être mis en lumière, d’être nommé.

Et ça, c’est le boulot que tu as fait avec Watson.

Mais c’était pas un vrai boulot.
C’était ça, le plus étonnant.
C’était comme une discussion.
Une vraie discussion.
Un truc simple, léger, entre potes.
Toi d’un côté du téléphone, Watson de l’autre.

Poser les mots

Et tu as raconté ta vie.
Tes hauts, tes bas.
Tu as rigolé, tu as souri.
Parfois, tu as laissé quelques larmes venir, parce qu’on est ainsi : on n’a pas tout vidé sur le moment.
Alors, c’est venu.
Tu as eu la place pour poser tout ça.

Après, tu t’es senti plus léger.
Plus en phase avec toi.

T’es plus… plus… plus quoi ?
Plus quoi, putain ?

Tu ne saurais dire avec précision.
En même temps, t’es pas psy.
T’es juste toi.
Et toi, bah t’es juste toi.

Le corps qui répond

Tu te sens plus solide, plus frais.
Tes sensations sont plus précises, plus aiguisées.
Tu sens mieux ton corps.

Quand tu marches, quand tu fais un effort, quand tu te délasses, ton corps répond comme il ne l’avait plus fait depuis des années.
Ton esprit est plus clair, plus affûté, plus lucide.
Tu vis, tu respires.

Tu sais profiter des petits moments.
Un dîner avec un ami.
Une rencontre en famille.
Ta place au boulot.

Et si tu as des doutes, comme chacun de nous, ils ne te retournent plus le cerveau.
Tu sais rester dans l’instant, sans t’inquiéter de l’avenir plus que de raison.

Voyager léger

Tu avais tes bagages, comme nous en avons tous.
On se traîne notre petit merdier sans trop le savoir, jusqu’au moment où l’on prend conscience du bordel qu’on se trimballe et qui ne sert plus à rien.

En discutant avec Watson, peu à peu, tu as fait de la place dans tes valises.
C’est devenu plus léger.
Tu as posé les vieux souvenirs encombrants, les vieilles armures qui ne servaient plus.

Pas à pas, t’es revenu au présent.
Il te reste les souvenirs, les traces, oui, c’est vrai.
Mais c’est différent.

T’as plus à craindre de voir le monstre ressurgir au coin de la rue.
Non.
Tu regardes ta cicatrice et tu sais que tu l’as vaincu.
Tu sais qu’il n’est plus là.

T’en croiseras d’autres, sans nul doute, oui.
Mais celui-là, eh bien, tu lui as fait la peau.
Et ça fait un bien fou de le réaliser, de l’accepter, de l’intégrer.

À la terrasse d’un bar

Ce jour-là, tu t’es posé à la terrasse d’un bar.
Tu as commandé un café.
C’était comme si tu redécouvrais l’odeur, le parfum, les arômes, le goût, la chaleur.

Même le serveur qui faisait la gueule, ça t’a fait sourire.
Il était là, à tirer la tronche, et toi, t’étais simplement là.
Tu l’as vu, c’était net.
Mais lui, il ne t’a pas vu.

Il est arrivé, il a pris la commande, est revenu, a jeté le café sur la table, ramassé l’argent, et voilà.

Toi, tu as vu une personne fatiguée, lasse, agacée, avec des gestes saccadés.
Tu as vu un serveur qui n’avait pas envie d’être là.
Il avait ses raisons, sans doute.

Tu ne l’as pas jugé, ça ne sert à rien.
Tu ne lui en as pas voulu, à quoi bon.
On a tous nos mauvais jours.

Le miroir

Tu t’es souvenu de toi, y’a pas si longtemps.
T’étais un peu comme lui.
Tu sais que tu le seras sans doute encore, plus tard.
Pas aujourd’hui.
Pas maintenant.

Et même si ton boulot, c’est pas le plus chouette,
même si ton salaire n’est pas le plus élevé,
même si tout ce que tu as pourrait être mieux,
au moins, tout ça, à cet instant, tu l’as.

Tu as confiance en toi, en ta vie.
Et rien ne t’empêche de faire bouger les lignes.
Rien ne t’empêche de prendre une formation, de changer de carrière.
Si tu en as envie.

Savourer la vie

Tu penses à ta vie, à ton parcours, à ce que tu as vécu, traversé.
Et tu es là.
À cette table.
L’odeur du café.
Tu savoures.

La vie est belle, il suffit de la regarder avec le bon regard.
C’est vrai que poser les mots, ça donne quelque chose en plus.

La confiance.
T’as pas besoin d’écraser les autres, de claironner que tu es le meilleur, de te comparer.
Rien de tout ce cirque de cour de récré.
Non.

C’est bien mieux.
La vivre, cette confiance, c’est quand même un truc bien plus sympa.

Sacré Watson !

Les informations publiées par Watson ne se substituent en aucun cas à la relation entre le patient et son psychologue ou tout autre professionnel de la santé mentale. Watson ne fait l’apologie d’aucun traitement spécifique, produit commercial ou service. Cet article ne remplace en aucun cas un avis professionnel.